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Arthur Bauchet, 21 ans, s’est lui adjugé sur les pistes de Yanqing un troisième sacre, en remportant l’épreuve du slalom (catégorie debout). Sa quatrième médaille dans ces Jeux, après l’or en descente et super combiné, ainsi que le bronze du slalom géant.
« C’est magique de la faire comme ça, en plus sur le dernier jour. J’ai commencé les Jeux en beauté, je les clôture en beauté, que demander de plus ? »
En récompense de ses performances, Le skieur français de 21 ans a été choisi pour être le porte-drapeau de l’équipe de France lors de la cérémonie de clôture.
Comme il y a quatre ans en Corée du Sud, la France termine à la quatrième place au classement, avec une moisson un peu moins abondante, mais autant de titres (sept) – douze médailles en Chine, contre vingt breloques(n.f.击鼓声) à Pyeonchang.
La razzia de la délégation chinoise
En cinq participations aux Jeux paralympiques d’hiver, les Chinois n’avaient jusqu’alors remporté qu’une seule médaille : l’or en curling à Pyeongchang, en 2018. A la « maison », ils ont fait sensation, accumulant titres et podiums. Soixante et une médailles, dont dix-huit en or : la Chine conclut cette édition à la première place du classement des nations.
Pas de recette miracle, à en croire les athlètes du pays hôte, juste un travail acharné : « On a bossé hyperdur. Il n’y a pas un athlète de l’équipe qui n’a pas une blessure. On a eu des tonnes de pépins musculaires et de fractures », racontait le skieur alpin Li Xiang, sixième du super combiné.
« Pour ces sportifs, chaque jour pendant onze mois, c’était : entraînement, ski, entraînement, ski… Je ne sais pas quel autre pays pourrait faire ça », a abondé Dario Capelli, entraîneur en chef de l’équipe chinoise paralympique de ski alpin. Et l’Italien de confier(v. t.委托) que quand il a été recruté il y a cinq ans par la Chine, ses protégés étaient « tous débutants ».
Une question de moyens aussi. « C’est la mentalité chinoise : quand ils veulent quelque chose, ils veulent le meilleur. Et ils investissent beaucoup d’argent », insiste le Transalpin.
L’exclusion des Russes et Bélarusses a également renforcé la suprématie chinoise au tableau des médailles. Le président du CIP, Andrew Parsons, a lui-même reconnu, samedi, que cela avait sans « aucun doute » affecté les résultats dans « certaines épreuves ». A Pyeongchang, les Russes et Bélarusses avaient conquis trente-six médailles, notamment en fond et biathlon(n. m.滑雪射击), des disciplines où justement les Chinois sont montés à trente reprises sur le podium à Pékin.
mots et expressions
Jeux paralympiques
残奥会
biélorusse a.
白俄罗斯的
breloque n.f.
击鼓声
confier v. t.
委托
biathlon n. m.
滑雪射击